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arsmagica a écrit: Alors que Charon arrivait sur la placette qui commençait à se remplir de monde, il observa au loin Mc Roich qui arrivait devant les gardes de l'entrée de la prison et se faisait stopper.

Mac Roich demanda à un des gardien :


"Je suis à la recherche d'une dame, qui se nomme Amélia, est elle ici, je vous prie ?"

Isatis a écrit:Mac Roich demanda à un des gardien :


"Je suis à la recherche d'une dame, qui se nomme Amélia, est elle ici, je vous prie ?"

Elle est effectivement arrivée il y a quelques minutes. Puis-je savoir ce que vous lui voulez ?

"Rien, je vous remercie, je vais attendre pas loin d´ici, pourriez l´informer de ma venue, lorsqu´elle sortira je vous prie ?"

"Je souhaiterai néanmoins savoir sur un autre plan, s´il vous plait, qui sera en charge d´appliquer la sentence ?"

Le garde te regarda d'un air hautain avant de daigner te répondre.

- Je lui dirai ... quant au boureau, vous verrez bien.

"Très bien..."

Mac Roich s´éloigna et se dirigea vers la place essayant de se rapprocher de la potence, pour y jeter un oeil de plus près...

arsmagica a écrit: Aalkrig sort de la prison et semble se diriger vers l'auberge.

Mac Roich se dirige vers lui et l´interpelle :


"S´il vous plait mon « ami », Pourriez vous me renseigner sur le déroulement des événements..."

Au moment ou Mc Roich interpelle Aalkrig, quatre gardes sortent de la prison et se mettent en poste devant la porte de celle-ci. Aalkrig a une mine maussade et un leger énervement est visible sur les traits de son visage, Mc Roich se dit qu'il serait bien de ne surtout rien faire pour l'énerver.

- La femme ne va pas etre tuée. Regardez ce garde qui fait dégager la place. d'autres ne vont pas tarder à démonter l'echafaud.

D´un ton calme, courtois et confient, il lui demande:

"Je vois, vous vous êtes occupé de son interrogatoire il me semble, pourrai-je vous demander qu´elles en furent vos conclusions ?, que vous a-t-elle dit ?"

- Elle a avoué qu'elle était coupable. Et je puis vous assurer que c'était une coriace. Et maintenant la donzelle se pointe et fous tout par terre. De vous à moi, je n'aime pas que l'on se mette en travers de mon chemin.

Une fois ces paroles prononcées, tu as l'impression qu'un souffle d'air froid vient de te faire herisser les poils sur le cou.

Cet air froid crispa Mac Roich, mais il insista encore un peu...


"Je vous comprends très bien, et je ne supporte pas non plus que l´on remette en cause ni mon autorité ni mon jugement, mais bon..., je vous demanderai juste avant de vous laisser en paix si elle vous a donné ces motivations, ou nommé d´éventuels complices..."

- Non, ni l'un, ni l'autre.