[L'auberge] Ravenloft [DD3.5][Arsmagica]

[Faizon]

Estéa avance avec calme de derrière son comptoir pour se poser au milieu de la salle. Elle observe un court instant la jeune femme blessée et armée, hausse un sourcil en voyant qu'on prend soin d'elle. Elle s'avance donc, entre les tables et les chaises, jusqu'à la porte de l'auberge, qu'elle franchit, pour se poser sur le seuil et regarder l'origine du vacarme extérieur.

[arsmagica]

Juste devant l'auberge, à moins d'une vingtaine de mètres, Estéa peut voir quatre hommes en armes, des gardes, courir vers l'auberge. Ils sont vêtus en mailles et ont chacun une epée longue de degainée. L'un d'entre eux semble bléssé et tous ont une expression de rage sur le visage. L'un d'eux hurle

- Dans l'auberge, couvrez les accès !

[Faizon]

Estéa se pose devant la porte, prenant la parole dès que les gardes soient à portée de voix sans qu'elle ait à hurler.

"Messieurs, bonjour... je pense savoir quelle est la raison de votre visite. Peut-être pourrions-nous éviter d'achever notre pauvre auberge qui a subi des dommages lourds ces derniers jours et régler cette situation dans le calme. La personne que vous cherchez n'est pas en état de fuir, il ne sert à rien d'entrer et de tout casser."

C'est avec un sourire que la jeune femme finit sa phrase, alors que les gardes arrivent au pas de la porte, là où elle se tient.

[arsmagica]

Le plus gradé s'approche d'Estéa, escorté d'un de ses collegues, tandis que les deux autres font le tour afin sans doute de voir s'il existe un accès par derrière. L'homme transpire et le ton avec lequel il s'adresse à Estéa ne laisse pas le moindre doute quant à ses actes futurs si sa proie ne lui est pas amenée au plus vite.

- Soit vous m'anenez la femme, soit nous allons la chercher ! Elle s'est évadée, c'est une dangereuse meurtrière !

[Astrum]

Après une nuit agitée, Guy décida de se lever malgré le manque de sommeil, son ami et guide Bertrand disparu, il devait désormais trouver sa voie tout seul dans ce monde obscur. La rapide toilette finit de le réveiller, l'eau glaciale lui fouetta le sang, il s'habilla promptement et enserra son épée, mit son armure, s'allonga sur le sol pria et descendit les escaliers....
Sa première vision d'un être humain fut une personne blessée, cette image le ramena à la réalité qu'il avait quitté le temps de descendre l'escalier.

[Astrum]

- Soit vous m'anenez la femme, soit nous allons la chercher ! Elle s'est évadée, c'est une dangereuse meurtrière !

A ces mots, il regarda la femme en armure pour mieux la juger

[arsmagica]

La femme blessée est dans un piteux état. Elle est assise à coté du croque-mort qui l'aide du mieux qu'il peut. Sa blessure est profonde et risque de s'infecter. Elle n'a pas l'air d'être en pleine possession de ses moyens, car elle a du mal à tenir l'équilibre, son visage est blafard et les extremités de ses membres commencent eux aussi à blanchir.

[Horgerhall]

La femme blessée est dans un piteux état. Elle est assise à coté du croque-mort qui l'aide du mieux qu'il peut. Sa blessure est profonde et risque de s'infecter. Elle n'a pas l'air d'être en pleine possession de ses moyens, car elle a du mal à tenir l'équilibre, son visage est blafard et les extremités de ses membres commencent eux aussi à blanchir.

Eledhwen s'approcha de la femme pour lui prodiguer les premiers soins.

- Une meurtriere vous dites ? Il vaux mieux la sauver avant qu'elle ne succombe à ses blessures, sinon vous ne pourrez la prendre vivante.

Elle dit tout cela tout en soignant comme elle pu les blessures de la femme.

[arsmagica]

Les gardes, situés à l'extérieur de l'auberge devant la porte d'entrée qui était bloquée par Estéa entendirent la remarque d'Eledhwen. L'un d'eux dégaina son arme et s'adressa à Estéa tout d'abord.

- Poussez-vous ou vous mourrez pour entrave à la garde !

Puis il s'adressa à Eledhwen.

- Soignez un assasin et vous le rejoindrez dans sa tombe !

[Faizon]

Toujours aussi calme et posée, souriante, Estéa s'écarta, de manière à montrer sa bonne volonté, mais se positionnant malgré tout pour limiter une entrée furieuse du garde s'il se décidait à se ruer dans l'auberge, avant de reprendre la parole.

"Ne pensez-vous pas qu'il serait plus judicieux de ranger cette arme et de me laisser faire sortir cette jeune femme? De plus, une fois soignée, elle sera plus à même de répondre de ses actes devant la loi, et de subir la peine qui doit être sienne."

Un sourire crispé accompagna la fin des paroles de la jeune femme, tandis qu'elle se décalait lentement pour céder petit à petit le passage au garde, déciderait-il malgré tout d'entrer.

[arsmagica]

Le garde, voyant qu'Estéa le laissait entrer, se calma un peu mais ne rengaina point son arme et pénétra dans l'auberge, son compagnon montant la garde près de la porte principale. Il s'approcha de la femme bléssée et parla d'une voix forte.

- Ecartez-vous d'elle ! Cet assassin doit être conduit aux geoles !

Il s'approcha ensuite de la femme.

[Faizon]

Estéa pivota légèrement, pour faire face à la scène à l'intérieur de l'auberge. Elle fit un petit signe à Eledhwen, l'invitant à s'écarter de la jeune femme blessée.

Elle reprit la parole, s'adressant au garde, toujours douce et posée.

"Dites-moi, si cette information n'est pas confidentielle... du meurtre de qui cette femme est-elle accusée?"

[arsmagica]

- Cette femme est accusée du meutre de Marielle Helfirst, l'apprentie forgerone. Maintenant laissez moi l'emmener !

[Horgerhall]

Estéa pivota légèrement, pour faire face à la scène à l'intérieur de l'auberge. Elle fit un petit signe à Eledhwen, l'invitant à s'écarter de la jeune femme blessée.

Elle reprit la parole, s'adressant au garde, toujours douce et posée.

"Dites-moi, si cette information n'est pas confidentielle... du meurtre de qui cette femme est-elle accusée?"

Eledhwen s'écarta du corps de la femme, tout en gardant un oeil sur son état, au cas ou.

[arsmagica]

Le garde souleva la femme par l'épaule et entreprit de la trainer hors de l'auberge. Celle-ci pissait le sang et semblait au bord de l'evanouissement. Ils sortirent de l'auberge et le garde à l'entrée prit le relais. Ils s'éloignèrent dans la nuit.