Voren's, en tant que "fin gourmet" auto proclamé, du moin, aussi fin que pouvait le laisser transparaitre son allure "distinguée"... huma cette très délicate odeur, qui embauma la taverne lors du passage d'Estéa, il extirpa son regard du fond de sa chope, écarquilla les yeux comme un enfant à qui l'on montre une friandise, commença à se lécher les babines, devant cette odeur exquise de "poulet"..., certainement bien préparé à la façon de grand-maman se disait-il...qui ne pouvait laisser présager qu'un repas on ne peut plus remarquable.
Dicté par ses sens en ébullition, il s'écria vers Estéa, " Estéa du poulet pour moi aussi, du bon poulet ...j'ai faim !!"